921 : au moins depuis cette date existent divers toponymes : ‘Villa Berthmar’ (du nom d’un chef nordique), ‘Villebermer’, ‘Villebremarius’ (954), ‘Villabremier’ (1257) ‘Villebernerii’ (1270), ‘Villabermier’ (1271), ‘Villa Bremerio’ ou ‘Villabrmiera’ (1310), ‘Villabrumier’ et enfin ‘Villebrumier’.
Vers 960 : édification de l’église ‘Notre Dame’ (à nouveau attestée dans les censiers en 1450) au lieu-dit ‘Pech de la Gleyso’ (colline de l’Eglise, en occitan) près du cimetière actuel. 
990 :  construction d’une église au lieu-dit ‘Goudous’ sous le vocable «’Aro de Goddore’.
Moyen-Age : existence d’un château féodal.
1263 : création de la ‘bastida de Villabermier’ par Alphonse de Poitiers.
1268 : concession d’une ‘Charte de Coutumes et Libertés’ aux habitants du lieu par Pierre de Loubaresses, seigneur de Villebrumier. Gestion du village par les Consuls.
Avant le XIVème siècle : existence d’un fortin situé sur la colline, au-dessus du cimetière actuel.
1347, 1348, 1350, 1394 : épidémies de peste qui provoquent d’énormes ravages dans la population.
1397 (28 juillet) : invasion de sauterelles qui font « grand bruit comme le tonnerre, tant épaisses qu’elles cachaient le soleil ».
XVème siècle : existence d’un village fortifié.
1432 : peste appelée ‘bubons e del mal caut’ (adénite et du mal chaud).
1442 : hiver rigoureux avec neige abondante si bien que « nul bateau ne pouvait aller sur l’eau et nul cheval ni à pied dans les champs ».
1448 (2 février) : épouvantable ouragan qui abat les maisons et déracine les arbres.
1474, 1529, 1563 : épidémies de peste.
Vers 1540 : présence épisodique de Jean de Lettes et d’Armande de Durfort dans une maison construite ‘Rue du Four’.
A partir de 1571 : présence de seigneurs protestants.
1622 (16 août) : destruction du village lors d’un terrible combat dû aux guerres de religions.  
1629, 1631, 1652, 1653 : épidémies de peste.
1660 (25 juin) : tremblement de terre qui fit que «les cloches tintèrent d’elles mêmes ».
1693, 1694, 1695 : hivers rigoureux et dernier été avec chutes de grêle.
Au XVIIIème siècle, l‘élevage du ver à soie s’est développé dans la région.
1701 : implantation de la Croix.
1709 (du 7 au 21 janvier) : hiver d’une extrême rigueur avec le Tarn gelé et une neige abondante.
1712 (juin)  orage qui provoque des coulées de terre de la colline sur le chemin entre ‘le Taulat’ et ‘Pontous’, ce qui emporte les nombreuses vignes.
1720 (juillet) : maladie contagieuse (la peste sûrement) venue de Marseille, si bien que l’accès dans le bourg n’était permis que sur présentation d’un ‘certificat de santé’ aux gardes mis en place aux entrées.
1721 : inauguration de l’église Saint Théodard et édification d’une chapelle au lieu-dit ‘Clarios’, supprimée en1731.
1742 : construction d’un nouveau clocher.
1763 : naissance de Pierre Gerla.
1788/1789 :hiver rigoureux : Tarn glacé, problèmes d’approvisionnement.
1789 : rédaction des cahiers de doléances. Création de la commune rattachée à la Haute-Garonne.
1793 : désignation de la commune comme chef-lieu de canton de la Haute-Garonne.
1793/1796 : vente des Biens Nationaux.
1808 : création du Tarn-et-Garonne, département auquel appartient désormais Villebrumier.
1810 : modification des limites de la commune, les terres de la rive gauche du Tarn deviennent propriété de Nohic. Publication du premier cadastre local.
1813/14 : mesures de protection face à l’avancée des forces armées anglaises.

1820 : prêt par Pierre Gerla  de sa demeure de la ‘Rue Basse’ à la commune pour en faire ‘une maison d’éducation’. L’immeuble sera acquis en 1873.
Vers 1840 : construction de la Mairie-Ecole, agrandie en 1877.
Entre 1830 et 1860 : aménagements des routes départementales.
1855/57 : construction du premier pont avec tablier en bois.
1862 : construction du lavoir.
1882 : création d’un aqueduc sanitaire souterrain.
1884 : création d’une adduction d’eau avec 8 bornes-fontaines desservant le bourg.
1886 : acquisition du bâtiment de la Gendarmerie restauré en 1971 puis en 1983/84.
1895 : naissance du ‘Sporting Club’ et aménagement d’un vélodrome en terre battue.
Vers 1900 : création d’un poids public.
1914/18 : la ‘Grande Guerre’ fait 24 ‘Morts pour la France’.
1918 : épidémie de grippe mortelle.
1923 : édification du premier Monument aux Morts remplacé par l’actuel en 1953.
1926 : arrivée de l’électricité au bourg.
1930 (3 mars) : inondation du Tarn d’une ampleur exceptionnelle
1932 : création de jeux de boule lyonnaise place du Communalet.
1933 : implantation d’un ‘baraquement’ en guise de salle des fêtes place de la Mairie (démoli en 1970).
1934 : construction du pont suspendu actuel.
1936 : création d’un terrain de tennis, implanté d’abord au ‘Communalet’ puis, en 1963, place de la Mairie et enfin au stade.
1939/45 : Seconde Guerre Mondiale avec 2 ‘Morts pour la France’, des réfugiés alsaciens et belges, des prisonniers de guerre, des requis du travail obligatoire, un déporté..
1944 : méfaits reconnus par Stanislas Walezewski.